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       Jules Verne

      Les enfants du capitaine Grant

      Publié par Good Press, 2020

       [email protected]

      EAN 4064066088545

       La première de couverture

       Page de titre

       Texte

      PREMIÈRE PARTIE

      Chapitre I Balance-fish

      Chapitre II Les trois documents

      Chapitre III Malcolm-Castle

      Chapitre IV Une proposition de lady Glenarvan

      Chapitre V Le départ du «Duncan»

      Chapitre VI Le passager de la cabine numéro six

      Chapitre VII D’où vient et où va Jacques Paganel

      Chapitre VIII Un brave homme de plus à bord du «Duncan»

      Chapitre IX Le détroit de Magellan

      Chapitre X Le trente-septième parallèle

      Chapitre XI Traversée du Chili

      Chapitre XII À douze mille pieds dans les airs

      Chapitre XIII Descente de la cordillère

      Chapitre XIV Le coup de fusil de la providence

      Chapitre XV L’espagnol de Jacques Paganel

      Chapitre XVI Le rio-Colorado

      Chapitre XVII Les pampas

      Chapitre XVIII À la recherche d’une aiguade

      Chapitre XIX Les loups rouges

      Chapitre XX Les plaines argentines

      Chapitre XXI Le fort indépendance

      Chapitre XXII La crue

      Chapitre XXIII Où l’on mène la vie des oiseaux

      Chapitre XXIV Où l’on continue de mener la vie des oiseaux

      Chapitre XXXV Entre le feu et l’eau

      Chapitre XXVI L’Atlantique

      DEUXIÈME PARTIE

      Chapitre I Le retour à bord

      Chapitre II Tristan d’Acunha

      Chapitre III L’île Amsterdam

      Chapitre IV Les paris de Jacques Paganel et du major Mac Nabbs

      Chapitre V Les colères de l’océan Indien

      Chapitre VI Le cap Bernouilli

      Chapitre VII Ayrton

      Chapitre VIII Le départ

      Chapitre IX La province de Victoria

      Chapitre X Wimerra river

      Chapitre XI Burke et Stuart

      Chapitre XII Le railway de Melbourne à Sandhurst

      Chapitre XIII Un premier prix de géographie

      Chapitre XIV Les mines du mont Alexandre

      Chapitre XV «Australian and New Zealand gazette»

      Chapitre XVI Où le major soutient que ce sont des singes

      Chapitre XVII Les éleveurs millionnaires

      Chapitre XVIII Les alpes australiennes

      Chapitre XIX Un coup de théâtre

      Chapitre XX Aland! Zealand!

      Chapitre XXI Quatre jours d’angoisse

      Chapitre XXII Eden

      TROISIÈME PARTIE

      Chapitre I Le Macquarie

      Chapitre II Le passé du pays où l’on va

      Chapitre III Les massacres de la Nouvelle-Zélande

      Chapitre IV Les brisants

      Chapitre V Les matelots improvisés

      Chapitre VI Où le cannibalisme est traité théoriquement

      Chapitre VII Où l’on accoste enfin une terre qu’il faudrait éviter

      Chapitre VIII Le présent du pays où l’on est

      Chapitre IX Trente milles au nord

      Chapitre X Le fleuve national

      Chapitre XI Le lac Taupo

      Chapitre XII Les funérailles d’un chef maori

      Chapitre XIII Les dernières heures

      Chapitre XIV La montagne tabou

      Chapitre XV Les grands moyens de Paganel

      Chapitre XVI Entre deux feux

      Chapitre XVII Pourquoi le «Duncan» croisait sur la côte est de la

       Nouvelle-Zélande

      Chapitre XVIII Ayrton ou Ben Joyce

      Chapitre XIX Une transaction

      Chapitre XX Un cri dans la nuit

      Chapitre XXI L’île Tabor

      Chapitre XXII La dernière distraction de Jacques Paganel

      PREMIÈRE PARTIE

       Table des matières

      Chapitre I Balance-fish

      Le 26 juillet 1864, par une forte brise du nord-est, un magnifique yacht évoluait à toute vapeur sur les flots du canal du nord. Le pavillon d’Angleterre battait à sa corne d’artimon; à l’extrémité du grand mât, un guidon bleu portait les initiales E G, brodées en or et surmontées d’une couronne ducale. Ce yacht se nommait le Duncan; il appartenait à lord Glenarvan, l’un des seize pairs écossais qui siègent à la chambre haute, et le membre le plus distingué du «royal-thames-yacht-club», si célèbre dans tout le royaume-uni.

      Lord Edward Glenarvan se trouvait à bord avec sa jeune femme, lady

       Helena, et l’un de ses cousins, le major Mac Nabbs.

      Le Duncan, nouvellement construit, était venu faire ses essais à quelques milles au dehors du golfe de la Clyde, et cherchait à rentrer à Glasgow; déjà l’île d’Arran se relevait à l’horizon, quand le matelot de vigie signala un énorme poisson qui s’ébattait dans le sillage du yacht.

      Le capitaine John Mangles fit aussitôt prévenir lord Edward de cette rencontre. Celui-ci monta sur la dunette avec le major Mac Nabbs, et demanda au capitaine ce qu’il pensait de cet animal.

      «Vraiment, votre honneur, répondit John Mangles, je pense que c’est un requin d’une belle taille.

      —Un

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