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Programme des Épouses Interstellaires Coffret. Grace Goodwin
Читать онлайн.Название Programme des Épouses Interstellaires Coffret
Год выпуска 0
isbn 9783969879719
Автор произведения Grace Goodwin
Жанр Языкознание
Издательство Bookwire
Je l’excite doucement, j’explore son clitoris à l’aide du pouce tout en la doigtant, mais je ne m’appesantis pas suffisamment à son goût. Elle pousse un gémissement en guise de protestation, elle ondule des hanches, ouvre la bouche, engloutit la langue de Nial qui ne lui laisse pas le temps de réfléchir, elle ne peut que ressentir. Il maintient sa tête immobile, sa main est profondément enfouie dans ses cheveux, près de son cou. Le contrôle qu’il exerce sur elle me fait bander. On va lui donner exactement ce dont elle a besoin, elle sera d’accord. Elle se soumettra.
Nial baisse sa main libre vers l’étrange vêtement qui recouvre ses seins. Je regarde, fasciné, tandis qu’un outil cyborg sort de son doigt, une lame de rasoir coupe le tissu en moins d’une seconde, se rétracte et disparaît. Le tissu est déchiré en plein milieu, laissant apparaître des seins ronds aux mamelons rose clair. Elle halète, elle baisse sa main sur le cou de Nial pour qu’il la cache.
Nial attrape son poignet et le place derrière sa nuque. Elle se laisse faire, enfouit les doigts dans ses cheveux tandis que sa main se pose en coupe sur son sein, pince et titille ses tétons déjà durcis.
Je la branle plus rapidement et explore son intimité, à la recherche de la zone érogène que possèdent toutes les humaines paraît-il, un point G mythique qui leur procure un plaisir intense. Son vagin est glissant, lisse, chaud, il se contracte sur mes doigts lorsque je le trouve enfin …
« Oh, mon Dieu. »
Jessica abandonne la bouche de Nial et regarde son corps. Elle se fige en me voyant agenouillé, les doigts enfoncés jusqu’à la garde dans sa chatte, la main de Nial sur son sein. « Oh, mon Dieu. »
Elle essaie de serrer les jambes mais je m’agenouille entre elles, mes épaules la force à les garder ouvertes. Je soutiens son regard alors que je retire doucement mes doigts, je les enfonce à nouveau profondément, effleurant le point G qui la rend folle de plaisir.
« Bonjour, partenaire. »
Je la branle plus vigoureusement, elle écarquille les yeux tandis que Nial prend le relais. Il pince ses tétons et mordille son oreille tandis que je la doigte, soulagée qu’elle ne soit pas vierge. Je n’ai pas envie d’être doux. Je ne peux pas être doux.
Elle ne me refuse pas, mais elle ne m’accueille pas non plus, elle est toujours tendue. Je ralentis l’allure et dépose un baiser sur son clitoris gonflé, je le lèche tout en respirant son odeur féminine. Si crue, si torride, si parfaite. J’embrasse une cuisse d’une blancheur de lait, puis l’autre.
Elle frémit, se tourne et croise le regard de Nial. « C’est pas juste. Pourquoi—je veux dire—« Jessica secoue la tête, son vagin se contracte autour de mes doigts, réclamant encore mes doux baisers. « Je ne comprends pas. Je ne peux pas avec deux hommes. » Elle serre les cuisses, essayant de les refermer en vain. « Je ne vous connais pas et … oh, mon Dieu, je ne devrais pas faire ça. »
Je souris, la tête contre son vagin et lape son clitoris, j’observe ses moindre réactions. Je sais qu’elle aime ça, non pas à cause de son hésitation, mais parce que sa chatte est littéralement trempée.
« Ander est ton second partenaire. Il te protègera et t’aimera, tout comme moi. Nous te procurerons du plaisir ensemble. C’est tout à fait naturel sur Prillon. Tu seras aimée et adorée par tes deux partenaires, Jessica. C’est ton droit en tant qu’épouse. » Il lèche ses lèvres tandis que je baisse la tête, je fais de même avec son clitoris. « Tu veux qu’on arrête ? »
Nial attend sa réponse, je suce son clitoris, je lèche sa peau sensible du bout de la langue. Je la suce plus ardemment lorsqu’elle gémit, je doigte son vagin puisque ça a l’air de lui plaire. Vu sa réaction, j’ai apparemment vu juste
« Non. Ne t’arrête pas. » Elle enroule ses jambes autour de ma tête, m’enserre entre ses cuisses, je pousse un grondement d’approbation. Elle s’agite sous la vibration et presse sa chatte contre moi, pour faire en sorte que je la suce plus vigoureusement et plus profondément. « Ne t’arrête pas. »
Sa requête me donne envie de l’attacher et de lui apprendre ce qu’il en coûte d’essayer de donner des ordres mais je n’en ai pas le droit. Pas encore.
Je dois d’abord lui prouver ma valeur. Je dois gagner sa confiance avec mes doigts et ma bouche. Puis, j’obtiendrai son plaisir. Elle me suppliera alors.
Je la suce plus vigoureusement, je la pousse au paroxysme, je la doigte tantôt rapidement et superficiellement, tantôt doucement et en profondeur. Nial fait en sorte que sa tête repose sur son bras, il prend ses tétons dans sa bouche, l’un après l’autre, il l’empêche de bouger en mettant une main dans ses cheveux, afin qu’elle ne puisse pas se soustraire aux besoins que nous avons éveillés en elle.
Il change de position et attrape son membre de sa main libre, je suis le mouvement, je libère mon sexe de mon pantalon et l’empoigne. Je masturbe mon membre en érection avec vigueur tout en tétant le fluide sucré de ma partenaire et en écoutant ses petits cris de plaisir. On doit l’enduire de sperme ; son odeur est suffisante pour que la connexion s’établisse entre nous, pour que le désir s’instaure avec ses partenaires. Une fois qu’elle l’aura sur la peau …
Nous sommes sur Terre, pas chez nous, le pouvoir mental de nos colliers d’accouplement nous aiderait grandement. On doit l’accoupler à nous tant que possible et le plus vite possible. Les composants chimiques contenus dans notre sperme la lieront à nous jusqu’à ce qu’on puisse lui passer le collier d’accouplement.
J’ai hâte d’éjaculer sur elle, je branle ma bite vigoureusement mais inutile de forcer. Le goût qu’elle m’a laissé dans la bouche est suffisant pour me conduire vite et bien au point de non-retour.
Mes doigts sont toujours profondément enfoncés dans son vagin, je me lève tandis que Nial extirpe son sexe de son pantalon et le pose sur son ventre doux. Je besogne son clitoris à l’aide du pouce et regarde son visage tandis que mon sexe qui palpite éjacule un premier jet de sperme bien épais à l’intérieur de sa cuisse, sa hanche et son ventre. Nial suce ses tétons dans sa bouche tout en grognant, il éjacule sur son ventre et se sert de sa main libre pour frotter le fluide sur sa peau laiteuse.
Je fais de même, je fais pénétrer mon sperme chaud dans sa peau, qui l’absorbe comme une éponge. Intrigué, je ne quitte pas son visage des yeux tandis qu’elle rejette sa tête en arrière et ouvre grand la bouche en un cri muet.
Son vagin se contracte sur mes doigts tandis qu’elle jouit dans les bras de Nial, les fluides d’accouplement contenus dans notre sperme ont provoqué un orgasme.
Je la regarde fixement, hypnotisé par le mélange d’agonie et d’apaisement qui se lit sur son visage. Je ne pourrais jamais m’ôter cette image du plaisir de l’esprit. Je n’oublierai jamais ce moment de perfection pure.
Je m’agenouille et suce à nouveau son clitoris, lui procurant du plaisir, ses petits cris se muent en gémissements alors que nous nous comportons comme les partenaires gloutons de Prillon que nous sommes, nous nous servons de notre bouche pour lui procurer orgasme sur orgasme. Nous continuons inlassablement jusqu’à ce qu’elle n’ait plus rien à donner, qu’elle soit complètement détendue, totalement épuisée. Nial l’enveloppe dans la couverture et se lève. J’essuie mes lèvres et mon menton mouillés de son fluide salé et acidulé et emboîte le pas à Nial, il emporte notre partenaire vers le sas de transfert.
La gardienne Egara nous attend. Elle rougit légèrement en nous voyant entrer, elle s’occupe du panneau de commandes situé derrière elle.
« Renvoyez-nous sur le cuirassé du Commandant Deston, ordonne Nial.
– Je suis désolée. Je ne peux pas. Le Prime bloque tout transport au-delà de la seconde zone. »
Je secoue la tête et regarde Nial, qui porte notre partenaire nue et endormie. La tête de Jessica est nichée sous son menton,