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224
S. Luce, Jeanne d'Arc à Domremy, pp. lxxi et suiv.
225
S. Luce, Jeanne d'Arc à Domremy, preuve LI.
226
De Beaucourt, Histoire de Charles VII, t. II, pp. 16-17.
227
S. Luce, Jeanne d'Arc à Domremy, preuve LXII.
228
Du Chesne, Généalogie de la maison de Vergy, Paris, 1625, in-folio. – Nouvelle Biographie Générale, t. XLV, p. 1125.
229
S. Luce, Domremy et Vaucouleurs, de 1412 à 1425, dans Jeanne d'Arc à Domremy, ch. III.
231
Ibid., t. I, p. 66. – S. Luce, Jeanne d'Arc à Domremy, p. LXXXVI et preuve XIV, p. 20.
232
S. Luce, Jeanne d'Arc à Domremy, pp. 275 et suiv.
233
E. de Bouteiller et G. de Braux, Nouvelles recherches, pp. 4-15.
234
Procès, t. I, pp. 52, 72-73, 89, 170.
235
Ibid., t. I, p. 52. – Le manuscrit porte non jejunaverat die præcedenti.
236
V. Servais, Annales historiques du Barrois, Bar-le-Duc, 1865, t. I, planche 2.
237
P. – Ch. Cahier, Caractéristique des Saints dans l'art populaire, t. I, p. 363. – Quicherat, Aperçus nouveaux, p. 50. – S. Luce, Jeanne d'Arc à Domremy, pp. XCV, XCVI et preuve XXIV, p. 74.
238
Mystère de Saint Remi, Biblioth. de l'Arsenal, ms. 3.364, fos 4 et 108.
239
«Sed signifer Sanctus Michael representet eas [animas] in lucem sanctam». Offertoire de la messe des morts.
240
A. Maury, Croyances et légendes du moyen âge, pp. 171 et suiv. – Barbier de Montault, Traité d'Iconographie chrétienne, t. I, p. 191.
241
AA. SS, 1672; t. III, I. pp. 85 et suiv. – Dom J. Huynes, Histoire générale de l'abbaye du Mont-Saint-Michel, éd. R. de Beaurepaire, Rouen, 1872, pp. 61 et suiv. – A. Forgeais. Collection de plombs historiés trouvés dans la Seine, Paris, 1864, t. III, p. 197. – S. Luce, Jeanne d'Arc à Domremy, ch. IV. —Chronique du Mont-Saint-Michel (1343-1468), éd. S. Luce, Paris, 1880-1886 (2 vol. in-8o), t. I, pp. 26, 146, 163 et suiv.
242
Lanéry d'Arc, Mémoires et consultations en faveur de Jeanne d'Arc, p. 272 [Opinion de Jean Bochard, dit de Vaucelle, évêque d'Avranches]. – Dom. J. Huynes, loc cit., ch. VIII, p. 105.
243
Dom Félibien, Histoire de l'abbaye royale de Saint-Denis…, Paris, 1706, in-fol. p. 341.
244
Richer, Histoire manuscrite de la Pucelle, ms. fr. 10448, fol. 13. – S. Luce, Jeanne d'Arc à Domremy, preuve XXIV.
245
Procès, t. I, pp. 72-73.
246
Procès, t. I, p. 170.
247
La vierge Marguerite substituée à la Lucine antique, analyse d'un poème inédit du XVe siècle, Paris, 1885, in-8o, p. 2. – Rabelais, Gargantua, l. I, ch. VI. – L'abbé J. – B. Thiers, Traité des superstitions selon l'Écriture sainte, Paris, 1697 (4 vol. in-12), t. I, p. 109.
248
S. Luce, Jeanne d'Arc à Domremy, preuve CCXXXIV, p. 272.
249
Abbé Bourgaut, Guide du pèlerin à Domremy, Nancy, 1878, in-12, p. 60. – E. Hinzelin, Chez Jeanne d'Arc, pp. 65 et 72.
250
Legenda Sanctorum, Bâle, Nicolas Kesler, in-fol., 1486, lég. LXXXVIII. – Douhet, Dictionnaire des légendes, pp. 824-836.
251
Gaston Paris, La littérature française au moyen âge, 1890, in-16, p. 212.
252
La Curne, Dictionnaire de l'ancien langage français, au mot: Olibrius. Olibrius se trouve aussi dans la légende de sainte Reine où il est gouverneur des Gaules. La légende de sainte Reine n'est qu'une variante assez ancienne de la légende de sainte Marguerite.
253
Bibliothèque Mazarine, manuscrit 515. Recueil, de prières, fo 55. Ce manuscrit est précisément originaire des bords de la Meuse.
254
S. Luce, loc. cit., preuve XIII, p. 19, note 2. – E. de Bouteiller et G. de Braux, Nouvelles recherches sur la famille de Jeanne d'Arc, pp. XVI et 62. —Guide et souvenir du pèlerin à Domremy, Nancy, 1878, in-18, p. 60.
255
J. Miélot, Vie de sainte Catherine, texte revu par Marius Sepet, 1881, gr. in-8o.
256
Gaston Paris, La littérature française au moyen âge, pp. 82, 213.
257
Voragine, La légende dorée, 1846, pp. 789-797. – Douhet, Dictionnaire des légendes, 1855, p. 282.
258
Procès, t. I, p. 128. – Hinzelin, Chez Jeanne d'Arc, p. 29. – Nous examinerons, au moment du procès, s'il est possible de concilier les assertions de Jeanne relativement à ce vœu.
259
Procès, t. I, p. 128; t. III, p. 219.
260
Ibid., table, aux mots: Voix, Catherine et Marguerite.
261
Ibid., t. I, pp. 71-85; 167 et suiv.; 186 et suiv.
262
Procès, t. I, pp. 185-186.
263
Humblement n'exprime dans la langue ancienne qu'un sentiment affable. On trouve dans Froissart (cité par La Curne): «Li contes de Hainaut rechut ces seigneurs d'Engleterre, l'un après l'autre, moult humblement.»
264
Procès, t. I, p. 130.
266
Procès, t. II, p. 413 et note 2.
267
Ibid., t. I, p. 52, glose marginale du ms. d'Urfé: Celavit visiones curato, patri et matri et cuicumque, dans Procès, t. I, p. 128, note. – Lanéry d'Arc, Mémoires et consultations en faveur de Jeanne d'Arc, p. 471.
268
Ibid., t. I, p. 171: «Et luy racontet l'angle la pitié qui estoit ou royaume de France». Pitié sujet de tendresse et d'amour: L'ange pense spécialement au Dauphin. Pour le sens et l'emploi de ce mot, comparez Monstrelet, t. III. p. 74: «… et le peuple plorant de pitié et de joie qu'ils avoient à regarder leur seigneur». Gérard de Nevers dans La Curne: «Pitié estoit de voir festoyer leur seigneur; on ne pourrait retenir ses larmes en voyant la joie qu'ils marquoient de recevoir leur seigneur.»