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Эта книга – бесценный источник информации и иллюстративного материала для каждого любителя военной истории. Автор, крупнейший специалист по истории оружия, поставил перед собой непростую задачу – популярно изложить историю развития военного дела на протяжении последних двух с половиной тысячелетий. В тематических разделах собраны рассказы о войнах и вооружении Древней Греции, Древнего Рима, Средних веков, Нового времени и, наконец, XX века. Рисунки и фотографии служат прекрасным дополнением к тексту. Издание интересно всем, кто увлекается историей военного дела.

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Kasimir Malevitch (Kiev, 1878 – Saint-Pétersbourg, 1935) était un peintre, un grand théoricien d’art, et surtout le père fondateur du suprématisme, style basé sur les formes géométriques et la recherche de l’abstraction pure. « Le suprématisme, écrivit-il, m’a conduit à découvrir quelque chose qui n’avait pas encore été compris jusqu’alors… Il y a dans la conscience humaine un désir impérieux d’espace et la volonté de s’échapper du globe terrestre. » Cette publication présente les œuvres étincelantes de Malevitch, cet artiste original qui, jusqu’à l’âge de vingt-sept ans, ne suivit aucune formation professionnelle de peintre et apprit à dessiner uniquement par curiosité et soif de connaissance. Une fois encore, Gerry Souter nous propose de découvrir les œuvres d’un artiste fascinant à travers une nouvelle approche de sa personnalité.

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Léonard de Vinci (Vinci, 1452 – Le Clos-Lucé, 1519) Léonard passa la première partie de sa vie à Florence, la seconde à Milan et ses trois dernières années en France. Le professeur de Léonard fut Verrocchio, d'abord orfèvre, puis peintre et sculpteur. En tant que peintre, Verrocchio était représentatif de la très scientifique école de dessin ; plus célèbre comme sculpteur, il créa la statue de Colleoni à Venise. Léonard de Vinci était un homme extrêmement attirant physiquement, doté de manières charmantes, d'agréable conversation et de grandes capacités intellectuelles. Il était très versé dans les sciences et les mathématiques, et possédait aussi un vrai talent de musicien. Sa maîtrise du dessin était extraordinaire, manifeste dans ses nombreux dessins, comme dans ses peintures relativement rares. L'adresse de ses mains était au service de la plus minutieuse observation, et de l'exploration analytique du caractère et de la structure de la forme. Léonard fut le premier des grands hommes à désirer créer dans un tableau une sorte d'unité mystique issue de la fusion entre la matière et l'esprit. Maintenant que les Primitifs avaient conclu leurs expériences, poursuivies sans relâche deux siècles durant, il pouvait prononcer les mots qui serviraient de sésame à tous les artistes du futur dignes de ce nom : peindre est un acte intellectuel, une cosa mentale. Il enrichit le dessin florentin en intensifiant la perspective de champ par un modelage de l'ombre et de la lumière que ses prédécesseurs n'avaient utilisé que pour donner une plus grande précision aux contours. Cette technique est appelée sfumato. Cette merveilleuse maîtrise du dessin, ce modelé et ce clair-obscur, il les utilisa non seulement pour peindre l'aspect extérieur du corps, mais aussi, comme personne avant lui, pour explorer une part du mystère de sa vie intérieure. Dans sa Mona Lisa, sa Sainte Anne et ses autres chefs-d'oeuvre, il ne se contente pas d'utiliser le paysage comme un ornement plus ou moins pittoresque, mais bien comme une sorte d'écho de cette vie intérieure, un élément constitutif de cette harmonie parfaite. Se fiant aux lois toujours assez récentes de la perspective, ce docteur en sagesse académique, qui, à cette même époque, posait les bases de la pensée moderne, substitua à la manière discursive des Primitifs le principe de concentration qui est le fondement de l'art classique. Le tableau ne nous est plus présenté comme un agrégat presque fortuit de détails et d'épisodes. C'est un organisme dont tous les éléments, lignes et couleurs, ombres et lumières, composent un subtil entrelacs convergeant vers un noyau spirituel, voire sensuel. Dans Mona Lisa, Léonard de Vinci dépeignit la quintessence de l'univers et de la femme, éternelle idée de l'homme et symbole de la beauté parfaite auquel il aspire. La nature est évoquée ici par un magicien dans tout son mystère et sa puissance. Derrière le charmant visage, calme, derrière le front, juvénile et pourtant méditatif, pparaissent des montagnes, des glaciers, de l'eau et des rochers. Dans cette très petite portion de surface peinte, se dévoile une vaste révélation, à côté de l'éternel féminin, de notre planète, notre mère la Terre. Léonard de Vinci ne se préoccupait pas de l'aspect extérieur des objets, mais bien de leur signification intérieure et spirituelle.

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«..Женщина, которой уже крепко за 80, сказала, что уже месяца четыре не пьет никаких лекарств, понижающих давление. Полгода назад приготовила спиртовую настойку из перегородок грецкого ореха. Пила она эту настойку по каплям (10–30 капель) в течение трех месяцев. Результат превзошел все ожидания: нормализовалось давление и щитовидная железа, доставлявшая много проблем, перестала беспокоить…» Это один из многочисленных примеров о пользе орехов. На практике орехи спасают нас от множества болезней, делают красивее и даже позволяют бороться с лишним весом. Путь эта книга поможет орехам сохранить ваше здоровье!

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Gustav Klimt (Baumgarten, 1862 – Vienne, 1918) «Faire un autoportrait ne m'intéresse pas. Les sujets de peinture qui m'intéressent ? Les autres et en particulier les femmes… » Aucune référence au monde extérieur ne vient contrarier le charme des allégories, portraits, paysages et autres personnages que l'artiste peint. Des couleurs et des motifs d'inspiration orientale (Klimt a été très influencé par le Japon, l'ancienne Egypte et la Ravenne byzantine), un espace bidimentionnel dépourvu de profondeur et une qualité souvent stylisée de l'image, autant d'éléments utilisés par le peintre pour créer une oeuvre séduisante, où le corps de la femme s'expose dans toute sa volupté. A 14 ans, il obtient une bourse d'Etat pour entrer à la Kunstgewerbeschule (l'Ecole viennoise des Arts et Métiers). Très vite, ses talents de peintre et de dessinateur s'affirment. Ses toutes remières oeuvres lui valent un succès inhabituellement précoce. Sa première grande initiative date de 1879 : il crée cette année-là la Künstlerkompagnie (la compagnie des artistes) avec son frère Ernst, et Franz Matsch. A Vienne, la fin du XIXe siècle est une période d'effervescence architecturale. L'empereur François– Joseph décide, en 1857, de détruire les remparts entourant le coeur médiéval de la ville. Le Ring, financé par l'argent du contribuable, est alors construit : de magnifiques résidences y côtoient de superbes parcs. Ces changements profitent à Klimt et à ses associés, leur fournissant de multiples occasions de faire montre de leur talent. En 1897, Klimt, accompagné de quelques amis proches, quitte la très conservatrice Künstlerhausgenossenschaft (Société coopérative des artistes autrichiens) ; il fonde le mouvement Sécession et en prend la présidence. La reconnaissance est immédiate. Au-dessus du porche d'entrée de l'édifice, conçu par José Maria Olbrich est inscrite la devise du mouvement : «A chaque âge son art, à l'art sa liberté. » A partir de 1897, Klimt passa pratiquement tous ses étés sur l'Attersee, en compagnie de la famille Flöge. Durant ces périodes de paix et de tranquillité, il eut l'occasion de peindre de nombreux paysages qui constituent un quart de son oeuvre complète. Klimt exécute des croquis préparatoires à la plus grande partie de ses réalisations. Parfois, il exécute plus de cent études pour un seul tableau. Le caractère exceptionnel de l'oeuvre de Klimt tient peut-être à l'absence de prédécesseurs et de réels disciples. Il admirait Rodin et Whistler sans les copier servilement. En retour, il fut admiré par les peintres viennois de la jeune génération, tels Egon Schiele et Oskar Kokoschka.

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Энциклопедия рассказывает об устройстве организма человека, его внутреннем мире, возрастных изменениях, происходящих на определенных жизненных этапах, основных факторах, влияющих на здоровье.

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Paul Klee (Munchenbuchsee, 1879 – Muralto, 1940) La réputation de Klee était celle d’un artiste introverti et rêveur. C’est une image qu’il cultivait en partie lui-même. En 1911, Klee fut présenté à August Macke. Peu après, il rencontra Marc et Kandinsky. Ils l’accueillirent dans le groupe exposant sous le nom de Blaue Reiter et il contribua à leur almanach. En avril 1912, Klee se rendit à Paris et fut profondément impressionné par «l’Orphisme » abstrait de Robert Delaunay. L’art de Klee se distingue par sa diversité extraordinaire et son innovation technique. L’une de ses techniques les plus efficaces était en réalité très simple – le transfert à l’huile (le dessin avec une pointe affûtée au verso d’une feuille couverte de peinture à l’huile et couchée sur une autre feuille). Les effets collatéraux du procédé entraînaient l’apparition de taches de couleur dues au hasard. De cette façon, Klee parvint dans plusieurs oeuvres à éhiculer une impression «spectrale ». De nos jours, l’un des plus célèbres tableaux de Klee est Der Goldfisch (Le Poisson rouge) de 1925. Un poisson lumineux brille vivement, en suspension dans un enfer aquatique. Klee fut xtrêmement productif pendant les années du Bauhaus, mais en fin de compte, la prise du pouvoir par les Nationaux-Socialistes le poussa à quitter l’Allemagne avec sa femme pour sa Suisse natale. Les dernières oeuvres de Klee, dans lesquelles dominent les formes simplifiées et archaïques, montrent sa préoccupation pour la mortalité. Klee mourut en 1940, au terme d’une longue maladie.

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Frida Kahlo est devenue plus familière aux amateurs d’art après la sortie d’un film sur sa vie. Son OEuvre n’en reste pas moins compliqué dans son approche et sa compréhension. L’auteur, Gerry Souter, avec délicatesse et talent, explore les aspects les plus intimes de l’artiste et de ses oeuvres en alternant vie et création, danger et exaltation. Un livre d’art qui se lit comme un roman.

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Jean-Auguste-Dominique Ingres (Montauban, 1780 – Paris, 1867) Ingres sembla d'abord destiné à reprendre le flambeau de son maître David, dans l'art à la fois du portrait et de la peinture historique. Il gagna le Prix de Rome en 1801, où il ne se rendit que 6 ans plus tard à cause de la situation économique française. Mais Ingres s'émancipa très vite. Il n'avait que 25 ans lorsqu'il peignit les portraits de la famille Rivière. Ils révèlent un talent original et un goût pour la composition non dépourvu d'un certain maniérisme, mais celui-ci est plein de charme, et le raffinement des lignes ondulantes est aussi éloigné que possible du réalisme simple et légèrement brutal qui fait la force des portraits de David. Ses rivaux ne se laissèrent pas abuser : ils tournèrent en dérision son style archaïque et singulier en le surnommant «Le Gothique » ou «Le Chinois ». Cependant, durant le Salon de 1824 qui suivit son retour d'Italie, Ingres fut promu chef de file du style académique, par opposition au nouveau courant romantique mené par Delacroix. En 1834, il fut nommé directeur de l'Ecole française de Rome, où il demeura 7 ans. Puis, à peine rentré au pays, il fut à nouveau acclamé comme le maître des valeurs traditionnelles, et s'en alla finir ses jours dans sa ville natale du Sud de la France. La plus grande contradiction dans la carrière d'Ingres est son titre de gardien des règles et des préceptes classiques, alors qu'une certaine excentricité est bien perceptible dans les plus belles de ses oeuvres. Un cuistre, observant le dos de la Grande Odalisque et diverses exagérations de forme dans Le Bain turc, fit remarquer les indignes erreurs commises par le dessinateur. Mais ne sont-elles pas simplement le moyen par lequel un grand artiste, doté d'une sensibilité extrême, interprète sa passion pour le corps magnifique de la femme ? Lorsqu'il voulut réunir un grand nombre de personnages dans une oeuvre monumentale telle que L'Apothéose d'Homère, Ingres n'atteignit jamais l'aisance, la souplesse, la vie ni l'unité que nous admirons dans les magnifiques compositions de Delacroix. Il procède par accumulation et juxtaposition. Pourtant, il sait faire preuve d'une grande assurance, d'un goût original et d'une imagination fertile lorsqu'il s'agit de tableaux n'impliquant que deux ou trois personnages, et mieux encore dans ceux où il glorifie un corps féminin, debout ou allongé, qui fut l'enchantement et le doux tourment de toute sa vie.

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Само слово «миф» означает «предание», «сказание». Оно пришло из Древней Греции и греческого языка. Великие авторы античности донесли до нас многочисленные сюжеты древних греческих мифов. В Европе до ХIХ в. были известны лишь античные и библейские древние сказания о сотворении мира и человека, предания о греческих и римских богах. Интерес к античным героям был особенно велик в эпоху Возрождения в ХV—ХVI вв. Им были посвящены книги, картины, скульптуры, музыкальные произведения. Именно тогда стало модным использовать в речи имена греческих и римских богов «Марс – аллегория войны, Венера (Афродита) – символ любви, Немезида – возмездие, Минерва – мудрость». В эпоху Великих географических открытий европейский мир узнал о существовании народов, дотоле неведомых: американских индейцев, народов Африки, Океании. И если греческие мифы – «высочайший первообраз поэтического мира», то мифы народов Африки, Австралии, Океании просты и по-детски наивны. В них отразились их представления о происхождении мира и человека. Если сказка – это фантазия, вымысел, то миф – это объяснение того или иного явления жизни, основа узнавания окружающего мира. А для современного человека – это огромный и интереснейший пласт истории и культуры. Книга может быть рекомендована в качестве дополнительного пособия по истории и литературе.