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      Tout ce dont j'ai besoin, c'est d'un fouet pour punir ce chagrin

      Tout ce dont j'ai besoin, ce sont des sentiments pour combler ce vide

      D'un chagrin qui fouette comme une flèche

      Mes désirs sont enchaînés dans cette horreur de la luxure

      Des rêves et des pertes éphémères

      Avec une grande terreur

      Je crains de perdre cette bataille

      Voici venu le moment où nous devons nous séparer

      Et où nous devons prendre des chemins différents

      Nous ne nous disons pas adieu, non

      Des choix ont été faits, le destin nous appelle

      Nous nous croiserons

      Seulement pour nous séparer une fois de plus

      Nous ne pourrions plus jamais

      Honorer notre propre présence

      Comme ces horaires conçus

      Si par hasard nos chemins se croisent

      Nous nous tenons par la main

      Mais comme les pattes d'un oiseau qui broute les eaux

      La plupart des jours, je me tourne pour partager une idée avec toi

      Je regarde à ma droite, l'espace est vide

      Ce n'est plus toi qui es assis à mes côtés

      C'est un parfum familier, Mais pas intime

      Ni ta cure de rajeunissement avec des sourires radieux

      Avec des sourcils plissés, en train de réfléchir

      Et de digérer mon innovation

      Quand tu traînes, c'est n'importe quoi

      Juste pour apaiser les peurs

      Et alléger l'humeur tendue

      J'entends encore ton rire sauvage

      Si mélodieux, réconfortant

      Plus un baume apaisant

      Être enflammé à ma chair

      Vagues de soulagement tourbillonnantes

      Tous ceux qui sont maintenant partis avec le vent

      Emmenés dans un endroit où ils ne pourront jamais être récupérés

      Je suis seul, pas si seul

      Les marées se sont empirées, comme d’un aperçu

      De l’un et de l'autre est venu un trésor

      Puis est venu un jour

      Nous avons battu des paroles, des paroles

      Comme des marteaux avec lesquels un coup

      Enfonce un clou de 100 onces dans un mur

      J'aspire à ces doux moments ensemble

      Mais ils ne peuvent jamais tourner l'horloge

      Enfin, Nous avons eu des contacts des plus chaleureux

      Un moment pour avoir fait de beaux souvenirs

      C'était le dernier jour où nous aurions pu nous détendre

      Souhaiter à nous-mêmes des mots de bonne volonté

      Mais nous ne les avons jamais faits

      Peu en importe les raisons

      Je n'arrive pas à comprendre maintenant

      Nous étions tellement déplacés

      Je souhaite pouvoir reprendre cela

      Mais c'est ce que c'était, ce l'est encore

      Une chose dont je suis heureux

      C'est que les bons moments ont supplanté les mauvais

      Bons moments qui me tiennent tant à cœur

      Comme une rose que les miens m'ont donnée vraiment

      Je sais qu'un jour

      En de si rares occasions

      Le soleil brillera comme les gouttes de pluie

      Et la lune jouera sur nos étoiles

      Quelle chanson étrange et familière voulez-vous que j'écrive ?

      Quelles paroles de lamentation voudriez-vous que j'écrive ?

      Quel chemin tortueux me feriez-vous prendre ?

      En patinant, qu'est-ce qui n'a pas tendance à éclairer une rue sombre

      Le manteau de la dépression et du désespoir : une vaine menace

      L'horloge de l'incertitude étouffe le territoire de l'espoir

      La chance du succès se coupe de l'emprise de la maîtrise

      Le verrou de la prospérité est loin d'être satisfaisant

      La patience est sur le point de s'effondrer dans une usine en faillite

      La vertu se noie, s'insinue dans le sanctuaire de l'indignité

      Sur la voie des luttes acharnées

      Le chemin du succès peut graver de nombreuses routes de terre

      La force grésilla, chuchote à la mâchoire fatiguée des espoirs