Аннотация

Van Dyck se acostumbró pronto al estilo de vida suntuoso de Rubens, y cuando viajó a Italia con unas cartas de presentación de su maestro, vivió en los palacios de sus mecenas, adoptando para sí una ostentación tan elegante que llegó a conocérsele como “el pintor caballero”. Después de su regreso a Amberes, sus mecenas fueron personas ricas y de la clase noble, y su propio estilo de vida se moldeó de acuerdo con el de ellos; de este modo, cuando en 1632 recibió la designación de pintor de la corte de Carlos I de Inglaterra, mantuvo un establecimiento casi principesco y su casa en Blackfriars era el lugar de moda. Pasó los últimos dos años de su vida viajando por el continente con su joven esposa, la hija de Lord Gowry. Su salud se había deteriorado por sus excesos de trabajo y volvió a Londres para morir. Fue inhumado en la catedral de San Pablo. Van Dyck trató de amalgamar las influencias de Italia (Tiziano, Veronese, Bellini) y Flandes y tuvo éxito en algunas pinturas que tienen una gracia conmovedora, como sus diferentes obras con los mismos títulos como Madona y la Sagrada Familia, Crucifixión y Descenso de la cruz, y también en algunas de sus composiciones mitológicas. En su juventud pintó muchos retablos llenos de sensibilidad religiosa y entusiasmo. Sin embargo, alcanzó una mayor fama como retratista, el más elegante y aristocrático jamás conocido. El gran Retrato de Carlos I en el Louvre es un trabajo único por su majestuosa elegancia. En sus retratos inventó un estilo de elegancia y refinamiento que se convirtió en un modelo para los artistas de los siglos XVII y XVIII, ya que correspondía al esmerado lujo de la vida en la corte del periodo. También es considerado como uno de los más grandes artistas del color.

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Bereits mit der Eröffnung seines ersten Ateliers im Alter von 16 Jahren war Anthonis van Dyck (1599-1641) eine Legende der Kunstwelt. Er hatte Rubens schon als Kind studiert, wurde sein talentiertester Schüler und als gefeierter Hofmaler in England und Spanien zu seinem Konkurrenten. Heute ist van Dyck vor allem als Meister der Porträtkunst bekannt, der die Eleganz und opulente Schönheit des europäischen höfischen Lebens des 17. Jahrhunderts ebenso produktiv wie begabt einfing. In diesem faszinierenden Abriss über den flämischen Maler und seinen Werdegang markiert Natalia Gritsai die bedeutendsten Lebensabschnitte und Werke des Künstlers.

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Van Dyck war Schüler und Mitarbeiter von Rubens. Als er Italien bereiste, lebte er in den Palästen seiner Gönner und trat selbst so vornehm und elegant auf, dass man ihn den “Malerkavalier” nannte. Er wurde 1632 zum Hofmaler des englischen Königs Karl II. (1630 bis 1685) ernannt. Seine beiden letzten Lebensjahre verbrachte er mit seiner jungen Frau auf einer Reise durch Europa. Doch seine Gesundheit war von der vielen Arbeit geschädigt, und er kehrte nach London zurück, um dort zu sterben. Seine letzte Ruhestätte fand er in der St. Paul’s Cathedral. Sein eigentlicher Ruhm gründet in seinen Portraits. Bei diesem Genre fand er zu einem überaus eleganten und raffinierten Stil, der das luxuriöse höfische Leben haargenau erfasste und zu einem Vorbild für die Künstler des 17. und 18. Jahrhunderts wurde. Van Dyck war bestrebt, die italienischen Einflüsse (Tizian, Veronese, Bellini) mit der flämischen Tradition zu verschmelzen. Dort, wo ihm das gelang, haben seine Gemälde eine wunderbare Anmut, vor allem seine Madonnen und Hl. Familien, seine Kreuzigungen und Kreuzesabnahmen und auch manche seiner mythologischen Darstellungen. Doch was die Portraitkunst anbelangt, konnte ihm niemand das Wasser reichen, außer vielleicht die großen englischen Portraitmaler des 18. Jahrhunderts, die ihn sich zum Vorbild nahmen.

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À partir de la création de son premier atelier à l’âge de seize ans, sir Anthony van Dyck (1599-1641) devint célèbre dans le monde de l’art. Rubens, son professeur lorsqu’il était enfant, disait de lui qu’il était son élève le plus talentueux. Il confirma cette remarque par une carrière d’artiste de cour en Angleterre et en Espagne. De nos jours, il est reconnu comme peintre de portraits, capturant l’élégance et la beauté opulente de la vie des cours européennes au XVIIe siècle. Dans cette présentation fascinante de la longue carrière de Van Dyck, Natalia Gritsai met en relief le meilleur des chefs-d’œuvre de l’artiste.

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À partir de la création de son premier atelier à l’âge de seize ans, sir Anthony van Dyck (1599-1641) devint célèbre dans le monde de l’art. Rubens, son professeur lorsqu’il était enfant, disait de lui qu’il était son élève le plus talentueux. Il confirma cette remarque par une carrière d’artiste de cour en Angleterre et en Espagne. De nos jours, il est reconnu comme peintre de portraits, capturant l’élégance et la beauté opulente de la vie des cours européennes au XVIIe siècle. Dans cette présentation fascinante de la longue carrière de Van Dyck, Natalia Gritsai met en relief le meilleur des chefs-d’œuvre de l’artiste.

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Anthonis van Dyck(Anvers, 1599 – Londres, 1641) Van Dyck connut très tôt le train de vie somptueux de Rubens. Lorsqu'il visita l'Italie, muni de lettres d'introduction de son maître, il vécut dans les palais de ses mécènes, adoptant lui aussi une telle ostentation dans l'élégance, qu'on parlait de lui comme du «peintre cavalier ». Après son retour à Anvers, il calqua son mode de vie sur celui de ses commanditaires, issus des classes riches et nobles, de sorte qu'en 1632, lorsqu'il fut finalement nommé peintre de cour du roi Charles Ier d'Angleterre, il conserva un train de vie presque princier, et sa maison de Blackfriars devint le lieu à la mode. Les deux dernières années de sa vie, van Dyck les passa à voyager sur le continent avec sa jeune épouse, la fille de Lord Gowry. Toutefois, sa santé avait souffert de ses excès, et il rentra à Londres pour y mourir. Il fut enterré dans la cathédrale Saint-Paul. Il peignit dans sa jeunesse plusieurs retables, empreints d'un «touchant sentiment religieux et d'enthousiasme », mais sa réputation repose essentiellement sur ses portraits. Avec eux, il inventa un style élégant et raffiné qui devint un exemple pour les artistes des XVIIe et XVIIIe siècles, reflétant en effet la vie de cour fastueuse de l'époque. Van Dyck essaya de réunir les influences italiennes (Titien, Véronèse et Bellini) et flamandes ; il y parvint dans certaines peintures d'une grâce touchante, notamment dans ses madones et ses Sainte Famille, ses crucifixions et dépositions de Croix, et également dans quelques compositions mythologiques. Mais c'est comme portraitiste qu'il connut sa plus grande gloire, réputé comme le plus élégant et le plus aristocratique de tous les temps. Dans ce domaine, il distança son maître et n'eut aucun rival, à l'exception des peintres de portrait du XVIIIe siècle anglais, dont il fut l'inspirateur. Le magnifique Portrait de Charles 1er, au Louvre, est une oeuvre unique en son genre. Son élégance souveraine, teintée d'une noble et subtile poésie, fait de ce portrait un excellent témoignage psychologique et historique. Il est aussi considéré comme l'un des plus grands coloristes de l'histoire de l'art.

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From the time he set up his first studio at the tender age of sixteen, Sir Anthony Van Dyck (1599-1641) was a legend in the art world. Rubens, whom he studied with as a child, said that he was his most talented pupil, and he went on to spectacularly fulfill this promise with a career as a celebrated court painter in England and Spain. Historians, scholars, and art lovers alike continue to recognize the sophistication and timeless beauty of his works. In this fascinating compendium of Van Dyck’s decades-long career, Natalia Gritsai highlights the best of the artist’s many masterpieces.