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Die Mega Square Ausgabe Schuhe präsentiert die Geschichte dieses Kleidungsstückes und erhebt es zu einem Kunstwerk. Der Autor ist ein führender Experte in diesem Gebiet und Kurator des französischen Schuh-Museums, welches mit 12 000 Exemplaren die größte Schuhsammlung der Welt besitzt. Dieses Buch ist das perfekte Geschenk für jede Schuh-Liebhaberin bzw. –Liebhaber und sein praktisches Format macht es zu einem idealen Geschenk.

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Was sagen die abertausenden Bilder von BHs und Unterwäsche an perfekten Körpern, die wir täglich auf unzähligen Plakaten und in Magazinen sehen, über unsere Gesellschaft aus? Viele Frauen kleiden sich in aufreizenden Dessous, um Männern zu gefallen, zugleich aber haben sie sie seit der Antike stets unter Kleidung verborgen. Folglich müssen Dessous mehr sein als nur ein erotisches Lockmittel. Die Autoren haben anhand der Ikonografie der letzten Jahrhunderte die Beziehungen zwichen Dessous und Gesellschaft, Wirtschaft sowie persönlicher Intimität untersucht. Sie verbinden weibliche Unterwäsche mit der Emanzipation, indem sie hinterfragen, ob Dessous neue Freiheiten erschließen oder ob sie sich nur gesellschaftlichen Voraussetzungen anpassen. Dieses Mega Square Buch enthält Bilder vom 17. bis zum 21. Jahrhundert und sein handliches Format macht es zu einem idealen Geschenk.

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Gustav Klimt (1862-1918) war zum Ende des 19. Jahrhunderts nicht nur einer der einflussreichsten Künstler, sondern gründete zudem die Bewegung der Wiener Secession. Mithilfe dieser Bewegung übte er Kritik an der traditionellen Kunst, die sich durch ihren Widerstand gegen Veränderungen sowie Intoleranz gegenüber bestimmten modernen Vorstellungen auszeichnete. Klimt ließ sich durch den langsamen aber sicheren Niedergang sowie die Vielfalt der Kulturen der Österreichisch-Ungarischen Monarchie inspirieren. Bei Klimt spielten Erotik und Sinnlichkeit eine sehr große Rolle, und neben Schiele und Kokoschka zählte er zu den großen Meistern des Expressionismus. Das vorliegende Buch vereint eine erlesene Auswahl Klimts bekanntester Gemälde und einen Text, der den außergewöhnlichen Eklektizismus dieses großen Künstlers zu vermitteln vermag.

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Der selbst ernannte Wortführer der 1905 in Dresden gegründeten Künstlergruppe Die Brücke, Ernst-Ludwig Kirchner, war eine Schlüsselfigur des deutschen Expressionismus. Seine frühen Arbeiten zeigen zwar Einflüsse des Impressionismus und Jugendstils, doch malte Kirchner um 1909 in einer ihm eigenen, ausdrucksstarken Art mit forschen, lockeren Pinselstrichen, leuchtenden und nicht-naturalistischen Farben und deutlich herausgestellten Gesten. Im Atelier arbeitete er mit oftmals innerhalb kurzer Zeit nach der Natur erstellten Skizzen, auf denen häufig bewegte Figuren oder Szenen aus dem Großstadtleben zu sehen sind. Ungefähr zu der Zeit, als er 1912 nach Berlin zog, wurde Kirchners Stil sowohl in der Malerei als auch in seinen zahlreichen grafischen Arbeiten kantiger, von zackigen Linien und häufig einer gewissen Nervosität geprägt, wie etwa in seinen eindrucksvollen Berliner Straßenszenen. Kirchner erlebte den Ausbruch des Ersten Weltkriegs körperlich geschwächt und verängstigt. Die kurze Erfahrung seiner Ausbildung in der Armee erzeugte in ihm ein tiefes Trauma. Von 1917 bis zu seinem Freitod im Jahr 1938 lebte er zurückgezogen, wenn auch künstlerisch produktiv, nahe Davos in der Ruhe der Schweizer Alpen.

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Die Mega Square Ausgabe Kama Sutra ist eine Hommage an den Zauber der Liebe und ein universelles Verhaltenshandbuch. Raffinierte Fresken und filigrane Drucke illustrieren es mit großer Detailliebe. Sein handliches Format macht es zu einem idealen Geschenk.

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Das Mega Square Herbarium basiert auf dem botanischen Werk des berühmten Pflanzenexperten Basilius Beslers, der als einer der ersten über 1000 verschiedene Pflanzenarten beschrieb, zeichnete und präparierte. Seine Zeichnungen haben sowohl großen wissenschaftlichen als auch künstlerischen Wert und geben lebendige Einblick in die vielseitige Flora Europas. Diese Mega Square Ausgabe mit seinem praktischen Format ist ein ideales Geschenk.

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Diego Velázquez (Séville, 1599 – Madrid, 1660) Diego Velázquez était un artiste anticonformiste de l'ère baroque. A l'âge de vingt-quatre ans, Velázquez fit son premier voyage à Madrid avec son professeur, Francisco Pacheco, rencontré à Séville. Rapidement, il se qualifia comme maître peintre. Le roi Philippe IV remarqua son génie et le nomma peintre de cour en 1627. Peu après, l'artiste se lia d'amitié avec Rubens à Madrid. Il développa une approche plus réaliste de l'art religieux, où les personnages sont représentés de façon naturaliste et non pas idéalisée. Son usage du clair-obscur rappelle les oeuvres du Caravage. Il fit au moins deux voyages à Rome pour acheter de l'art Renaissance et néo-classique pour le roi. A Rome, il adhéra à l'Académie de Saint-Luc en 1650, et fut élu chevalier de l'ordre de Santiago en 1658. Son imposante oeuvre de commande, La Reddition de Breda (vers 1634), montrait la défaite des Hollandais devant les Espagnols, et célébrait le triomphe militaire du règne de Philippe. L'artiste peignit le Pape Innocent X (1650) au cours de son second séjour à Rome, rappelant des oeuvres similaires de Raphaël et de Titien. Ses dernières oeuvres étaient plus spontanées, mais toujours disciplinées. Le point culminant de sa carrière fut le chef-d'oeuvre intitulé Les Ménines (1656), l'un des plus complexes portraits de groupe de l'histoire. Velázquez est reconnu comme le plus grand peintre espagnol de son siècle. Il influença des peintres majeurs comme Goya et Manet.

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Albrecht Dürer (Nuremberg, 1471–1528) Dürer est le plus grand artiste allemand et le plus représentatif de l'esprit germanique. Comme Léonard, c'était un homme extrêmement attirant physiquement, doté de manières charmantes, de conversations agréables et de grandes capacités intellectuelles. Il était très versé dans les sciences et les mathématiques, et son don pour le dessin était extraordinaire. Dürer est plus réputé pour ses gravures sur bois et sur cuivre que pour ses peintures. Dans les deux pourtant, l'adresse de la main est au service de l'observation la plus minutieuse et de l'étude analytique du personnage et de la structure de la forme. Dürer ne possédait cependant pas la sensibilité de Léonard pour la beauté abstraite et la grâce idéale ; au lieu de cela, il était habité par une profonde gravité, un intérêt manifeste pour l'humanité et une inventivité plus dramatique. Dürer admirait beaucoup Luther et, dans son oeuvre, on retrouve les aspects les plus puissants de la doctrine du réformateur. Celle-ci est très sérieuse et sincère ; très humaine, elle s'adresse aux coeurs et à l'entendement des masses. Nuremberg, sa ville natale, était devenu le point névralgique de l'impression en Europe et le principal distributeur de livres du continent. Par conséquent, l'art de la gravure sur bois et sur cuivre, que l'on peut ualifier de branche picturale de l'impression, était très encouragé. Dürer sut tirer tous les avantages de cette situation. La Renaissance en Allemagne était un mouvement plus moral et intellectuel qu'artistique, en partie à cause du climat et de la situation sociale. En effet, la sensibilité envers la grâce et la beauté idéales se nourrit de l'étude de la forme humaine, et celle-ci s'est bien plus souvent épanouie dans les pays méridionaux. Mais Albrecht Dürer possédait un génie trop puissant pour se laisser conquérir. Il demeura aussi rofondément germanique que l'était, avec son sens tumultueux du tragique, son contemporain Mathias Grünewald, un visionnaire fantastique, hostile à toutes les séductions italiennes. Comme Léonard, Dürer se situait aux confins entre deux mondes, celui de l'ère gothique et celui de l'âge moderne, et à la frontière entre deux formes d'art, étant graveur et dessinateur plus que peintre.

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Harmensz van Rijn Rembrandt (Leyde, 1606 – Amsterdam, 1669) Tout chez Rembrandt est un mystère complet, son esprit, son caractère, sa vie, son œuvre et sa méthode de peinture. Mais ce que nous pouvons deviner de sa nature profonde à travers sa peinture et les incidents triviaux ou tragiques de sa vie malheureuse (son penchant pour le faste le poussa à la faillite), dont les infortunes ne s'expliquent pas complètement, révèle une effervescence de ses idées et de ses sentiments, des impulsions contradictoires émergeant des profondeurs de son être comme la lumière et l'ombre de ses toiles. Malgré cela, rien dans l'histoire de l'art ne nous donne une plus profonde impression d'unité que ses peintures, bien que composées d'éléments très hétéroclites aux significations les plus complexes. On a le sentiment que son esprit, génial, brillant et libre, audacieux et ignorant toute servitude, qui le mena aux plus nobles considérations et aux plus sublimes rêveries, jaillissait de la même source que ses émotions. C'est de là que provient cette composante tragique qu'il imprima à tout ce qu'il peignait, quel que fût le sujet. Son œuvre était donc inégale, car le sublime, qui était le propre d'un homme tel que lui, n'est pas une chose quotidienne. C'est comme si cette personnalité singulière, étrange, attirante et presque énigmatique à la fois avait été lente à se développer, ou du moins à connaître sa pleine dimension. Que Rembrandt ait possédé un talent précoce et une vision originale du monde, ses dessins de jeunesse et ses premiers autoportraits des années 1630 le prouvent assez. En peinture, cependant, il ne trouva pas immédiatement la méthode pour exprimer les choses encore incompréhensibles qu'il avait à dire, la technique audacieuse, globale et personnelle que nous admirons dans ses chefs-d'œuvre de la maturité et de la vieillesse, mais qui, en dépit de sa subtilité, fut jugée brutale et contribua certainement à l'éloigner de son public. Il adopta d'abord un style sophistiqué très similaire à la manière des «Petits Maîtres » de son pays. Toutefois, à ses débuts et au temps de ses premiers succès, l'éclairage joua un rôle majeur dans sa conception de la peinture et il en fit le principal instrument d'investigation des arcanes de sa vie intérieure. Il lui révéla la poésie de la physionomie humaine lorsqu'il peignit le Philosophe en méditation, ou La Sainte Famille, si délicieusement absorbée dans sa modeste intimité, ou l'ange Raphaël quittant Tobias. Mais bientôt il exigea plus, et La Ronde de nuit marqua immédiatement l'apothéose de sa réputation. Peu à peu, il évolua en s'éloignant du naturalisme des premières heures et des clairs-obscurs abrupts, arrondissant les angles et se tournant vers un monde plus coloré. Il songea aux grands vénitiens et emprunta leurs sujets pour produire une forme d'art né d'une vie intérieure et d'une émotion profonde. Les sujets mythologiques et religieux étaient traités comme ses portraits. Car tout ce qu'il puisait dans la réalité et même dans les œuvres des autres, il le transmutait immédiatement en sa propre substance.

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Diego Velázquez (Séville, 1599 – Madrid, 1660) Diego Velázquez était un artiste anticonformiste de l'ère baroque. A l'âge de vingt-quatre ans, Velázquez fit son premier voyage à Madrid avec son professeur, Francisco Pacheco, rencontré à Séville. Rapidement, il se qualifia comme maître peintre. Le roi Philippe IV remarqua son génie et le nomma peintre de cour en 1627. Peu après, l'artiste se lia d'amitié avec Rubens à Madrid. Il développa une approche plus réaliste de l'art religieux, où les personnages sont représentés de façon naturaliste et non pas idéalisée. Son usage du clair-obscur rappelle les oeuvres du Caravage. Il fit au moins deux voyages à Rome pour acheter de l'art Renaissance et néo-classique pour le roi. A Rome, il adhéra à l'Académie de Saint-Luc en 1650, et fut élu chevalier de l'ordre de Santiago en 1658. Son imposante oeuvre de commande, La Reddition de Breda (vers 1634), montrait la défaite des Hollandais devant les Espagnols, et célébrait le triomphe militaire du règne de Philippe. L'artiste peignit le Pape Innocent X (1650) au cours de son second séjour à Rome, rappelant des oeuvres similaires de Raphaël et de Titien. Ses dernières oeuvres étaient plus spontanées, mais toujours disciplinées. Le point culminant de sa carrière fut le chef-d'oeuvre intitulé Les Ménines (1656), l'un des plus complexes portraits de groupe de l'histoire. Velázquez est reconnu comme le plus grand peintre espagnol de son siècle. Il influença des peintres majeurs comme Goya et Manet.