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      La prière de Josaphat

      Chapitre un

      Aucune épreuve dans la vie n’est insurmontable! Il est possible de triompher sur toute difficulté dans la vie si on arrive à comprendre et à suivre les principes divins présentés ici. La vie est un combat et comme dans tous les combats, elle est pleine d’obstacles. On éprouvera dans cette vie des luttes, des problèmes, des souffrances, des difficultés, et des tentations. Ils se présentent sous des formes différentes et à des occasions variées ; parfois on les attend, mais quelques fois ils sont inattendus. D’aucuns nous viendront de côtés connus, mais parfois de sources incroyables. D’autres seront de souffrances spirituelles, mais aussi économiques et physiques. On doit apprendre à les attendre tant qu’on est vivant. Jésus eut certainement raison quand Il dit qu’on rencontrera des oppositions, des problèmes et des tribulations dans cette vie. Et Job aussi fut d’accord avec Lui lorsqu’il remarqua que la vie est pleine de problèmes. C’est vrai !

      Bien que tout cela soit vrai, Dieu en même temps nous offre des principes pour nous aider à triompher et, heureusement, on peut les reconnaitre dans le combat entre Juda et les trois états qui les avaient attaqués. Les fils d’Ammon, de Moab et d’Édom déclarèrent d’un coup la guerre contre Josaphat et son peuple, et avant que le roi sache ce qui se passait, cette multitude nombreuse eut déjà entrepris son approche de près vers Juda. La menace fut réelle, brusque, grande et imminente. En désespoir Josaphat convoqua le peuple, déclara un jeûne et alla dans la maison de Dieu pour L’invoquer :

      « Après cela, les fils de Moab et les fils d’Ammon, et avec eux des Maonites, marchèrent contre Josaphat pour lui faire la guerre. On vint en informer Josaphat, en disant : Une multitude nombreuse s’avance contre toi depuis l’autre côté de la mer, depuis Syrie, et ils sont à Hatsatson-Thamar, qui est En-Guédi. Dans sa frayeur, Josaphat se disposa à chercher l’Éternel, et il publia un jeûne pour tout Juda. Juda s’assembla pour invoquer l’Éternel, et l’on vint de toutes les villes de Juda pour chercher l’Éternel ».

      2 Chroniques 20:1-4

      Votre relation avec Dieu avant les épreuves et votre attitude lors de ces problèmes détermineront votre victoire sur la souffrance. Josaphat avait toujours conservé une bonne relation avec Dieu, et face à cette grande épreuve, sa première réaction fut naturellement d’invoquer Dieu. Comment est-elle votre relation avec Dieu ? Quelle est toujours votre première réaction devant les épreuves ? Vers qui tournez-vous votre cœur et votre confiance ? Josaphat avait confiance en le Dieu d’Israël et c’est pour cela qu’il se tourna à Dieu sans même le penser. Personnellement, j’ai appris à me tourner toujours à Dieu devant les épreuves. Et je triomphe à chaque occasion.

      Je me rappelle, en écrivant, quand j’étais jeune il y a quelques années, je travaillais pour une maison d’édition. J’avais à peine 20 ans et je venais juste d’accepter le salut de Christ. Mon patron au bureau menaçait de me virer tout le temps.

      Un jour il m’envoya un message m’informant que le lendemain serait mon dernier jour au travail. Je ne savais plus vraiment quoi faire puisqu’il avait informé tout le monde de sa décision. Même mon père, qui une fois avait donné assistance à cet homme, reçut ce message.

      Le jour décisif, j’ouvris ma Bible au moment où je me mis à genou pour prier. Je déployaila lettre de convocation et je mis les mains sur la page des Écritures qui montrait comment Dieu avait livré miraculeusement le peuple d’Israëld’une défaite imminente et de la destruction par un roi païen ; un roi qui s’était vanté que même le Dieu d’Israël ne pourrait pas les livrer.

      Je partis pour le bureau après la prière. Je n’avais aucune idée de ce qui se passerait au bureau, je n’avais qu’invoqué Dieu pour Son interventionà cette affaire. Je ne m’attendais pas, à mon arrivée au bureau, à de plus grandes nouvelles du jour. Les gardiens à l’entrée me demandèrent si je savais ce qui venait de se passer, je répondis au négatif. On m’informa de suite que le patron était mort. Mon Dieu ! Je demandai ce qui s’était passé car il m’avait personnellement convoqué de me présenter

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